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L'art de la guerre. Les monuments aux morts remarquables d’Occitanie
20,00€
Auteurs : Luce Barlangue, professeur émérite histoire de l’art contemporain, Université Jean Jaurès, Claire Aubaret, Josette Clier, Yvon Comte, Marie-Emmanuelle Desmoulins, Michèle François et Georges Gonsalves, chargés de mission à la conservation régionale des monuments historiques (DRAC Occitanie) et Patrick Roques, ingénieur, chercheur au service de la connaissance et de l’Inventaire des patrimoines (Région Occitanie)
Photographes : Amélie Boyer, Marc Kérignard, Jean-François Peiré
Parution : 2018
Collection « Images du patrimoine », n° 307
128 pages, 200 ill. en couleur
ISBN : 979-10-93747-16-3
Les innombrables monuments aux morts érigés dès la fin de la Grande Guerre reproduisent généralement des stéréotypes. Pourtant quelques communes ont opté pour un monument plus insolite ou plus original et l'étude menée démontre qu'en Occitanie, soixante-dix-huit monuments aux morts peuvent être considérés comme remarquables.
Un recensement exhaustif mené dans l'Ariège sur plus 640 « empreintes de mémoire », monuments, tableaux, estampes, plaques… avait abouti à la mise en ligne d'autant de notices, à une publication « Mémoires de la Grande Guerre en Ariège », parue en 2015 et à la protection au titre des monuments historiques de statues ou groupes sculptés dans le département. Le faible nombre d'œuvres remarquables posait alors la question de connaître, pour celles qui sortent de l'ordinaire, les motivations et les choix des maîtres d'œuvre ou des artistes dont les réalisations ont parfois bousculé les habitudes des habitants. À l'occasion du centenaire de la Grande Guerre, un recensement des monuments aux morts de la région a été engagé conjointement par l'État et la Région afin de permettre la protection des plus remarquables au titre des monuments historiques. Il est rapidement apparu qu'un ouvrage de synthèse devait accompagner la protection, pour montrer la richesse et la qualité de certaines œuvres aujourd'hui exposées sur l'espace public et trop peu regardées.
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