ÉDITIONS MIDI-PYRÉNÉENNES MIDI-PYRÉNÉES PATRIMOINE

500 témoins de la Grande Guerre

29,00

Date de sortie : 11 octobre 2013
Code ISBN : 978-2-9537602-7-9
17×24 – brochée
496 pages

 

Qté

Mission du Centenaire, septembre 2014 : Chaque semaine, à partir du mois de septembre 2014, et dans l’espace scientifique du site de la Mission du Centenaire, « Rémy Cazals revient sur les soldats, combattants, femmes, enfants qui ont été témoins de la guerre et qui l'ont mise en mots  […].
Ces chroniques sont étroitement liées au livre collectif 500 Témoins de la Grande Guerre, publié pour le centenaire de 1914 par les Éditions midi-pyrénéennes et Edhisto (Vosges). L'ouvrage entend poursuivre le travail de présentation et d'analyse des témoins de la Grande Guerre, publiés ou non, en l'élargissant aux militaires non-combattants, aux civils et aux civiles des catégories populaires françaises. »

Le Figaro Histoire, février-mars 2014 : « En retraçant leur origine [soldats et civils] et leur vie pendant les combats, ses notules dégagent, par une analyse rigoureuse, l’intérêt inégal d’œuvres (lettres, carnets, journaux) qui constituent pourtant, selon le mot de Jean-Norton Cru, « une manifestation unique de la pensée française ». » Geoffroy Gaillet

Le Monde.fr, 17 février 2014 :  « Ce recueil de 500 notices, qui chacune présente un témoin de la Grande Guerre, exceptionnel par sa richesse, s’inscrit – et le revendique – dans le prolongement de l’œuvre de Jean Norton Cru : cet universitaire, ancien soldat de Verdun, avait entrepris d’analyse les récits de guerre, afin d’en authentifier la véracité. […] Cette nouvelle entreprise met en lumière la place du témoignage aujourd’hui dans l’écriture d’une histoire sociale de la guerre. » Julie Clarini

Toulouse Mag, n° 135, février 2014 : « Ce « dictionnaire » s’impose comme une mine documentaire sur la Première Guerre mondiale. Il recense les noms, biographies et ouvrages de ces témoins qui ont écrit sur la Grande Guerre […] Ces auteurs n’avaient pas tous pour métier l’écriture, loin s’en faut […] »

« Témoins de 14 : un cru nouveau », L’OURS, mensuel socialiste de critique littéraire culturelle artistique, n° 434, janvier 2014 : « Des index précieux complètent cet ouvrage, et notamment un index thématique, qui permet de mesurer comment nos témoins ont vécu certains faits […] le regard qu’ils portaient sur la guerre. […] Des index des noms de lieux et des unités font de cet ensemble un instrument de travail utile pour toute activité de recherche ou de pédagogie sur la Grande Guerre.
Mais là n’est pas l’essentiel, bien sûr : ce dictionnaire nous offre une plongée dans des parcours individuels en temps de guerre. L’émotion est présente à chaque ligne, ou presque. » Denis Lefebvre

« Indispensables 500 témoins », En Envor, revue d’histoire contemporaine en Bretagne : « Ces 500 témoins de la Grande Guerre s'affirment donc dès aujourd'hui comme l'une des grandes réussites éditoriales de ce centenaire. Il s'agit d'un outil incontournable que n'importe quel chercheur, étudiant ou simple amateur qui travaille sur la Première Guerre mondiale se doit de posséder. » Erwan Le Gall

« Le « Norton Cru » des années 2000 », Guerres et conflits (XIXe – XXIe s.), actualité de la recherche et de l’édition en histoire, le 18 octobre 2013 : « Il est impossible de résumer en quelques lignes la diversité des origines régionales ou sociales, des parcours et des expériences des auteurs présentés au fil des pages, ainsi que le résumé du contenu de leurs témoignages. […] On reste impressionné devant la masse de connaissances et de compétences qu'il a fallu réunir pour « aller chercher » certains témoignages, mettre en forme l'ensemble et présenter un recueil aussi soigné. Ce volume est tout simplement indispensable pour quiconque veut s'intéresser de près à la Grande Guerre et travailler sur le conflit. » Remy Porte

« La guerre vue et vécue par les gens ordinaires », L’Humanité, 14 octobre 2013 : « La publication de 500 nouveaux témoignages de la guerre de 14-18, provenant, pour moitié, des classes populaires, offre une précieuse contribution à l'histoire sociale de la France. » Alain Raynal

80 ans après l'œuvre magistrale de Jean Norton Cru, la question du témoignage de la Grande Guerre a largement évolué. La publication par François Maspero des Carnets de guerre de Louis Barthas, tonnelier, dont le tirage va atteindre en 2014 les cent mille exemplaires, a suscité une véritable floraison. Carnets personnels et correspondances ont été extraits des armoires familiales et publiés, faisant ainsi apparaître le témoignage d'hommes et de femmes qui n'étaient pas, pour la plupart, des professionnels de l'écriture. Les auteurs de ce livre ont eux-mêmes participé à ce phénomène éditorial et leurs analyses, dans le cadre des activités du CRID 14-18, ont permis de composer un dictionnaire présentant 500 témoins, soldats de toute arme et de tout grade, du 2e classe au général, civils et civiles, notamment celles qui ont tenu un journal en pays envahi.

Chacune et chacun est placé dans son contexte : qui était le témoin ? dans quelles conditions a-t-il rédigé son témoignage ? quels sont les principaux aspects de son contenu ? Des index permettent de retrouver les noms de personnes et de lieux, les thèmes traités et les numéros des unités pour les militaires. Les nombreuses illustrations donnent à voir des portraits, des groupes familiaux ou de camarades, ainsi que les thèmes favoris des témoins photographes. Car la photo, aussi, fait partie du témoignage de la Grande Guerre.

Cet ouvrage est dû à cinq auteurs principaux, tous spécialistes de l'histoire de la Grande Guerre et membres du CRID 14-18. 28 autres spécialistes ont apporté leur contribution à cet ouvrage collectif, labellisé par la Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale.

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